qu’au milieu des écueils on rencontre le port. »
Corneille
qu’à un rythme vague, et de rive en rive,
Ne pas se durcir, ne pas résister,
juste épouser de la vie les incessants mouvements,
se laisser ballotter par ses courants
en attendant le nouveau port où accoster.
Puis, gracieusement, dans son enceinte entrer
comme au creux de tes bras je me glisserai
pour, de ce voyage, enfin, me reposer.